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Tous les projecteurs se sont tournés vers l’Europe qui a bien du mal à retrouver une croissance satisfaisante pour assurer son train de vie, car il faudra bien adapter les comptes de recettes face aux dépenses.
De nombreuses réformes sont nécessaires, le chantier est en marche.
Le mélodrame de la dette des pays du sud de l’Europe avec les déclarations alarmistes de dirigeants ou de spécialistes économiques a la vertu de faire prendre conscience aux populations qu’il va falloir trancher dans le vif, pour les retraites, pour les salaires des fonctionnaires, pour le train de vie des états.
La valeur « travail » sera plus compréhensible et admissible même pour les grecs qui se battent dans la rue toutes les semaines. Ils finiront bien par comprendre que la même énergie serait plus payante en travaillant qu’en braillant dans les rues d’Athènes.
L’Espagne, le Portugal s’emploient à prendre les décisions, certes douloureuses, mais constructives pour le futur.
La baisse de l’euro n’a pas eu que des effets négatifs, elle a profité à la compétitivité des exportations européennes.
L’Europe est en train de s’organiser. Le Président Français propose des sanctions efficaces comme la suspension des droits de votes des états qui ne respecteraient pas les critères européens.
Nicolas Sarkozy a annoncé une prochaine révision de la Constitution qui modifiera la gouvernance des finances publiques, en rendant impérative, la réduction du déficit des prochains gouvernements.
Herman van Rompuy, le Président du Conseil européen avec ses ministres s’activent pour un renforcement du pacte de stabilité de la réduction des écarts de compétitivité et de l’amélioration des institutions en charge de la gouvernance de la zone euro mais il va falloir toucher où ça fait mal, à la souveraineté fiscale des États.
Cela passe par « des procédures budgétaires croisées », « l'intégration du pacte de stabilité dans la législation nationale », des sanctions accrues autres que financières et aussi des gages de coordination et de rigueur budgétaire, a déclaré Christine Lagarde, Ministre Française de l'Économie.
De nombreuses réformes sont nécessaires, le chantier est en marche.
Le mélodrame de la dette des pays du sud de l’Europe avec les déclarations alarmistes de dirigeants ou de spécialistes économiques a la vertu de faire prendre conscience aux populations qu’il va falloir trancher dans le vif, pour les retraites, pour les salaires des fonctionnaires, pour le train de vie des états.
La valeur « travail » sera plus compréhensible et admissible même pour les grecs qui se battent dans la rue toutes les semaines. Ils finiront bien par comprendre que la même énergie serait plus payante en travaillant qu’en braillant dans les rues d’Athènes.
L’Espagne, le Portugal s’emploient à prendre les décisions, certes douloureuses, mais constructives pour le futur.
La baisse de l’euro n’a pas eu que des effets négatifs, elle a profité à la compétitivité des exportations européennes.
L’Europe est en train de s’organiser. Le Président Français propose des sanctions efficaces comme la suspension des droits de votes des états qui ne respecteraient pas les critères européens.
Nicolas Sarkozy a annoncé une prochaine révision de la Constitution qui modifiera la gouvernance des finances publiques, en rendant impérative, la réduction du déficit des prochains gouvernements.
Herman van Rompuy, le Président du Conseil européen avec ses ministres s’activent pour un renforcement du pacte de stabilité de la réduction des écarts de compétitivité et de l’amélioration des institutions en charge de la gouvernance de la zone euro mais il va falloir toucher où ça fait mal, à la souveraineté fiscale des États.
Cela passe par « des procédures budgétaires croisées », « l'intégration du pacte de stabilité dans la législation nationale », des sanctions accrues autres que financières et aussi des gages de coordination et de rigueur budgétaire, a déclaré Christine Lagarde, Ministre Française de l'Économie.
Il va bien falloir que les spéculateurs trouvent d’autres cibles car le toilettage européen est en marche de façon irréversible.
Il est fort à parier que, dans les jours qui viennent, les traders, sans aucun état d’âme, vont jouer l’Euro à la hausse.
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Le vrai spéculateur est celui qui a déjà acheté de l’euro.
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Le vrai spéculateur est celui qui a déjà acheté de l’euro.
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