Le socialisme est toujours généreux avec l’argent des autres. Les élus, dont trop souvent la carrière prime avant l’idéologie, ont fait rêver les populations « vous y avez droit », travaillez moins vous aurez autant, quelle ineptie.
La gauche française ne rend pas service au pays quand elle parle d’économie, ses propos « Généreux » annoncent que si elle arrive au pouvoir les indicateurs économiques ne pourront que s’effondrer et ses théories affolent les agences de notation.
Les banquiers sont toujours aussi aptes à donner des leçons, surtout aux patrons de PME, qu’ils considèrent comme des ouvriers de la finance.
On a bien vu comment ces messieurs savaient gérer avec l’argent des autres. Ils en sont arrivé à ne plus se faire confiance entre eux pour se prêter des fonds nécessaires à leur fonctionnement. La communauté bancaire a explosé. Le mensonge est de mise, encore il y a quelques jours le Président d’une grande Banque française déclamait devant un parterre de journalistes qu’il n’avait aucun besoin de liquidité et qu’il ne comprenait pas qu’on leur propose de les recapitaliser. . . . « Quatre banques françaises jugées systémiques » titrait le Figaro du 4 novembre « BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et BPCE figurent dans la liste des établissements financiers susceptibles de déstabiliser la planète en cas de faillite. »
Alors il est de bon ton de critiquer les dirigeants politiques. Après avoir élu Silvio Berlusconi, le peuple le siffle, l’insulte et réclame la prison pour cet homme, certes particulier, mais qui a œuvré pour son pays, fortune faite. Ou encore Le Président Nicolas Sarkozy, dont le monde entier admire la réactivité face aux évènements du monde mais qui fait l’objet de toutes les critiques de ses opposants et d’une majorité de la presse Française.
Les valeurs morales, les hiérarchies ne son plus respectées. On ne bâtit rien si chacun ne garde sa place même si cette place, peut être évolutive, après effort et perfectionnement.
Les plaques systémiques de l’Europe économique bougent et l’effondrement des plus fragiles est inéluctable « Ordo Ad Chao » qui signifie « du chaos à l'ordre », ainsi nous assistons à une Europe en construction qui, face à l’urgence économique se bâtit, car à leur tour les pays émergents, comme la Chine connaîtront des problèmes de régulation. En effet, cette société chinoise en mutation, fortement industrialisée, perdra en souplesse et en compétitivité.
L’Europe va encore souffrir de la rigueur, de nouveaux plans d’économie et de hausse d’impôts, puis enfin des plans de relance arriveront à point pour subvenir à la demande industrielle. Les pays fournisseurs devront organiser leur marché interne qui aura besoin de partager équitablement richesses et confort.