Il n’est pas facile pour un entrepreneur français de faire son chemin, pourtant en d’autres temps, Jean Claude Sensemat a su faire éclore une réussite hors pair depuis son département natal le Gers.
Son parcours ne fut pas facile mais cet autodidacte réussit dans un milieu essentiellement agricole.
Il
réussissait tout ce qu’il entreprenait, seul contre tous. Il fut honoré par
l’état et reçut le Mérite national à 38 ans et la Légion d’honneur à 45 ans.
Un entourage atteint du complexe d’Oedipe
Il
dut se battre contre vents et marées, seul, flanqué d’un entourage atteint du
complexe d’Oedipe et de personnages de justice véreux visés par une information
judiciaire pour « trafic d'influence, abus de confiance, recel, et
détournements de fonds » comme on peut le lire sur sa page Wikipédia.
Poussé
à l’exil par cette cabale, la famille Sensemat a émigré au Canada, à Montréal,
où ils furent naturalisés.
L'Amérique
du Nord est un paradis pour les entrepreneurs et le Québec ne fait pas
exception.
Il jeta son dévolu sur la finance et l’immobilier
Fort
de son expérience, à 55 ans il jeta son dévolu sur la finance car Wall Street
est la Mecque des marchés financiers et l’immobilier était évident, puisque les
immeubles poussaient comme des champignons, car l’immigration allait bon train,
un vrai eldorado pour les investisseurs.
Jean-Claude
Sensemat, qui n’était pas arrivé les mains vides, a vu son patrimoine croître.
Pour
la partie financière il sut s’entourer de spécialistes d’expérience qui excellent
à Wall Street et au Toronto stock-exchange.
Pour
l’immobilier son flair lui permit d’acquérir des appartements de luxe dans des
emplacements de premier choix qu’il loue avec l’assistance de courtiers
performants.
Figure
montréalaise connue, actif dans les milieux français où il fut élu
vice-président de l’Union des Français de l’étranger pendant cinq ans, sa
réussite professionnelle n’échappe à personne ici.
Une Rolls Royce pour ses 50 ans de carrière d’entrepreneur
Pour fêter ses 50 ans de carrière d’entrepreneur, il s’est offert une Rolls Royce Ghost, bientôt une deuxième, la Phantom coupé.
‘’Ah, sacrés Français jaloux !!!
C'est sûr qu'arborer sa Roll's, en France ça ne se fait pas, outre-Atlantique
vous suscitez l'admiration, car vous contribuez à amener quelque chose au
pays’’ écrit un de ses amis Facebook.
À
Montréal, Jean-Claude Sensemat a été très surpris de la réaction du public qui
ne cesse de faire des photos quand il passe ou qui lève le pouce le saluant
avec le sourire.
En France la jalousie est patente, le cercle des ‘’Amis’’ s’est restreint au fil du temps.
les jaloux n’ont pas résisté au rebond de sa réussite nord-américaine
Ils n’ont pas résisté au rebond, accablés par sa dernière
acquisition, qui est un véritable témoignage de sa réussite nord-américaine.
Personnage
emblématique à la réussite flamboyante, comme l’a décrit l’un de ses anciens
collaborateurs, il suscite la jalousie de ses amis français qui ont déjà
assisté à sa réussite en France.
À
70 ans passés, l’homme d’affaires désormais canadien est toujours plein
d’énergie, ne cesse de penser au futur et aux développements de son business.
Hélène Samson pour vudailleurs.com