mardi 31 décembre 2013

Meilleurs Voeux 2014


Sensemat et le Loup de Walt Street

 Dans le courrier des lecteurs:

« Je viens de voir Le Loup de Wall Street et j’ai été saisi des similitudes avec votre histoire.
Parti de rien, il construit un empire avec des collaborateurs qui finissent par le trahir.
Bien sûr, les célèbres Garden party que vous faisiez chez vous au Périssé étaient plus sages mais aussi provocantes pour les avoir vécues.
Enfin, quand Leonardo Di Caprio se fait harnacher de micros pour faire des enregistrements en faveur de la police, on dirait que cette scène vient droit de votre vécu.
Votre histoire est la version vertueuse et très française du Loup de Wall Street. »

G.P

L I S E Z: "FRANCE, QUAND TU TRAHIS"
par Jean-Claude Sensemat aux
www.EditionsDuroi.com
En France à la FNAC.com en ligne: 3€79
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Au Canada chez Google play CA$3.85
Disponible sur iPhone, iPad, Android ou Windows Phone
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samedi 30 novembre 2013

Jean-Claude Sensemat dédicace au Fouquet's


Au cocktail des Ècrivains du cercle MBC.
Avec mes amis et lecteurs dans les salons du Fouquet's pour "France quand tu trahis" aux
www.EditionsDuroi.com

Avec Henri Guaino. 

 Avec Marc Lavoine et Jean Poniatowski.
 Avec Les Frères Bogdanov.

www,Senemat.com

VISITEZ: www.EditionsDuroi.com  Pour "France quand tu trahis" en vente dans toutes les librairies e-commerce du monde entier.

mercredi 6 novembre 2013

Jean-Claude Sensemat et ses lecteurs

Dans le courrier des lecteurs de " France quand tu trahis " aux  Éditons Duroi:


« Cher Jean-Claude, Je croyais connaître ton histoire mais la lecture de « France, quand tu trahis » m’a édifié. 
Je me souviens de ce juge avec lequel tu étais ami. Lors de ta remise de Légion d’Honneur par Jean-Pierre Raffarin, à la maison de Gascogne, il s’est précipité pour se faire photographier avec toi. 
Sa jalousie était trop voyante et son empressement grotesque. »…….« Mais au fil de la lecture de ce livre, j’ai découvert comment le juge des tutelles de Lectoure voulait monter la tête à ton fils, toujours adolescent. J’ai appris comment, ce juge d’instruction, te menaçait alors que tu avais porté une plainte avec constitution de partie civile. »…….« Que dire de ces comptables qui t’ont trahi en toute impunité et même protégés alors qu’ils étaient dans le déni. »…….« J’ai eu vraiment de la peine à la lecture du traitement de ces curatrices incompétentes alors que tu avais placé ton ex-femme sous tutelle. Que dire de l’UDAF du Gers et de ses manquements qui ont finalement entériné la spoliation de l’héritage de ton fils au profit de sa grand-mère en Thaïlande qui finalement n’a pu récupérer l’argent qui reste entre les mains de la banque » …….« Que de souffrances pour Sompong, ton ex-épouse, décédée à Fleurance d’une crise cardiaque qui comme tu le dis était l’otage de faux amis, ils ne faisaient que la plaindre en la maintenant dans une déprime permanente alors tu t’en occupais au quotidien. Tout ce monde la manipulait pour te faire apparaître comme un salop. » …….« Il est vrai que tu as fait beaucoup pour Fleurance, ta ville natale. Pourtant, elle ne t’a jamais reconnu et même délaissé, tout comme le département du Gers dans lequel tu resteras pour toujours illustre. Je me suis demandé comment tu as pu supporté tout cela » …….« Il est évident que pour avoir créé un groupe comme le tien en partant de rien, alors que ton père avait choisi la mort avant tes vingt ans, seul tu as eu la force de bâtir pied à pied un grand groupe. » …….« Ceux qui t’observent et te jalousent ne peuvent que constater que ton ascension n’avait rein avoir avec le hasard, mais ta force de caractère illustre les personnes de talent. Je suis navré de constater les souffrances que nos compatriotes du Gers t’ont fait subir. »…….« Bravo pour avoir su t’extirper de cette ambiance en immigrant au Canada où je te souhaite le plus grand bonheur à toi et à ta famille. »

P.C


L I S E Z: "FRANCE, QUAND TU TRAHIS" par Jean-Claude Sensemat aux www.EditionsDuroi.com

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jeudi 3 octobre 2013

Sensemat à Bangkok.


Jean-Claude Sensemat et le Sénateur Frassa 
Convié à la résidence de France à Bangkok par l'Ambassadeur de France et Madame Thierry Viteau à l'occasion de la visite de Monsieur Christophe-André Frassa Sénateur représentant les Francais établis hors de France.
 

Martine et Jean-Claude Sensemat à l'Ambassade de France, Bangkok

vendredi 14 juin 2013

Discours de lancement de "France, quand tu trahis" à Montréal

Editions Duroi - Discours de lancement à Montréal le 12 Juin 2013

Monsieur le Conseiller élu à l’Assemblée des Français de l’Étranger,
Mesdames Messieurs les Présidents d’associations,
Mesdames Messieurs,
Chers amis,
Tout d’abord merci de vous joindre à moi pour le lancement de mon 5e livre :
" France, quand tu trahis", publié aux Éditions Duroi.
En effet, nous n’avons pas l’habitude de voir des chefs d’entreprises
ou des entrepreneurs écrire des livres sur leur expérience ou à de très rares exceptions.
Pour ma part, j’ai sûrement dû hériter cela de mon père qui, déjà en 1961, écrivit un essai intitulé : « Les propos considérables de Nicolas Passifol ». Cet ouvrage eut un certain retentissement dans le Sud-ouest de la France, à une époque où la communication n’était pas celle que nous connaissons, de nos jours.
Mon parcours professionnel m’a conduit aux quatre coins du monde mais il fut aussi jonché d’épreuves de toutes sortes.
J’ai voyagé très tôt, en 1975 en Chine de Mao Tse Tung puis à travers l’Asie et l’Europe de l’Est alors fermée par le communisme.
Tellement exalté par ce vécu, j’ai toujours voulu partager mon expérience avec mon entourage, avec mes amis.
Je suis donc devenu un auteur de témoignages économiques.
J’ai écrit mon premier ouvrage « La Patronade » publié aux Éditions Olivier Orban dès 1988. Ce néologisme illustre le cheminement d’un patron.
A suivi le livre "Comment j’ai sauvé Lip" édité aux éditions Entreprendre-Robert Lafont qui a illustré mon rachat en1990, de cette célèbre marque horlogère française.
Je me permets de vous rappeler que c’est LIP qui a inventé le quartz en 1970, en France. Si les hommes les plus humbles peuvent lire l’heure à leur poignet, c’est grâce à cette invention qui a marqué à jamais l’humanité.
Puis il y eut, en 2004, "Le Délit d’Entreprendre" aux éditions de la Mezzanine qui illustra les déboires rencontrés en 2000 dans ma région natale. Cet ouvrage fut très médiatisé en France et a fait couler beaucoup d’encre.
Mais ma vie a changé.
Ma famille et moi avons décidé d’immigrer, ici à Montréal, en Amérique du Nord,
où nous sommes installés avec bonheur.
C’est au Québec que j’ai écrit "France, quand tu trahis".
Ce livre illustre un parcours familial et personnel.
Il souligne les manquements de mon pays d’origine où j’ai aimé grandir, où j’ai pu développer ma passion d’entreprendre, à mon profit mais aussi au profit de ma région et de la France.
Mais comme on dit dans les milieux financiers : « Les arbres ne montent pas au ciel. » Alors, la jalousie fut aiguisée par un entourage malveillant dans un environnement où l’égalitarisme est prôné sans cesse. Vous découvrirez comment ma famille et moi avons été poussés à l’exil.
Vous ne trouvez pas ce livre dans les librairies traditionnelles
car malheureusement, elles disparaissent les unes après les autres.
J’ai donc choisi de créer ma propre maison d’édition au Québec.
C’est ainsi que sont nées les Editions Duroi, qui ont pour objet les éditions mais aussi la distribution.
Le site www.Éditionsduroi.com vend les livres en version papier partout à travers le monde en français et en anglais,
en assurant une expédition gratuite.
En revanche, la version numérique est présente dans toutes les librairies ebook : Amazon, Kindel, Kobo, Sony,  iTunes et prochainement dans les librairies de Google.
Paul-Loup SULITZER l'auteur de Money, Cash, Fortune qui a vendu 60 millions de livres à travers le monde, après avoir dévoré mon livre a déclaré au magazine JOURS DE FRANCE: 
"un livre que tout entrepreneur devrait lire pour ne rien laisser échapper du monde actuel et qui se lit comme un roman"
En ces quelques mots
j’espère vous avoir éclairé sur mes motivations d’auteur de témoignages économiques.
Cette expérience de l’économie du réel
d’une vie internationale m’a permis de me bâtir.
Je souhaite donc la transmettre à d’autres pour qu’ils puissent à leur tour se construire.
Vous trouverez donc dans mon dernier livre, du moins je l’espère, les outils pour vous aider dans vos projets futurs
ainsi mon ouvrage aura été utile.  
Merci et bonne lecture à tous,
Je vous souhaite de passer une excellente soirée.
 

EDITIONS DUROI - www.EditionsDuroi.com

jeudi 13 juin 2013

Jean-Claude Sensemat : du cauchemar français au rêve américain

Jean-Claude Sensemat : du cauchemar français au rêve américain
par Bertile de Contencin
pour l’Outarde libérée
 
Jean-Claude Sensemat, entrepreneur et auteur français installé au Québec en 2007, annonçait hier la sortie de son cinquième ouvrage au titre provocateur : France quand tu trahis. À travers son histoire personnelle, il règle ses comptes avec son pays, et livre le “témoignage économique” d’une vie qui l’a mené de la campagne française jusqu’aux gratte-ciel du downtown montréalais.
Comme il le reconnaît lui-même, raconter le parcours de Jean-Claude Sensemat prendrait de longues heures tant cet homme mène de vies à la fois. Cette citation extraite de son dernier livre résume cependant assez bien le personnage et son propos : “En Amérique, j’aurais été une idole! En France, chez moi, on m’a détesté.”
Jean-Claude Sensemat est un self-made-man made in Gascogne. “Je suis parti de rien, et j’ai pu construire un groupe dans le domaine de l’outillage grand public, qui en 30 ans est devenu leader en France, et dans 70 pays à travers le monde. Je suis également le propriétaire de la marque d’horlogerie LIP”, raconte-t-il, non sans fierté, de son bel accent du sud-ouest. Un jour contre toutes attentes, le vent tourne pour l’homme d’affaires. Des problèmes de trésorerie dans une de ses filiales l’amènent à déposer le bilan en 2000.
France quand tu trahis retrace, avec plusieurs aller-retour dans le temps et l’espace, ce qui a poussé cet entrepreneur dégoûté à quitter son pays. L’auteur qualifie son ouvrage de témoignage économique. “Je fais ça pour servir, explique-t-il, il m’est arrivé de belles choses dans ma vie, la France m’a permis de me développer, mais il y a eu quelques manquements de la part des institutions qui m’ont fait perdre des choses, et ces évènements qui me sont arrivés à moi peuvent arriver à d’autres.” Le récit ressemble parfois à un polar juridico-financier. Intimidations, écoutes, trahisons, mensonges, copinages, jeu de pouvoir, bling-bling, et jalousie, tout y est. Mais, derrière la vindicte, ce qu’on retient surtout c’est la vision d’expatrié que Jean-Claude Sensemat propose des modèles français et québécois.
“En France, comme je l’ai déjà dit dans une précédente interview, on peut réussir si on est socialiste. (…) Qui va vouloir entreprendre dans ce pays dans la mesure où vous risquez votre épargne et qu’on vous traite de salaud en permanence?”, interroge frondeur, celui qui s’affichait en photo avec Nicolas Sarkozy lors de sa conférence à la Chambre de Commerce de Montréal, en avril dernier. Comme tout immigré, il compare dans son livre ses deux expériences. “En Amérique du nord, dit-il,  l’entrepreneur est quelqu’un de reconnu parce que les Nord-Américains connaissent la valeur de l’argent. Au Québec une piasse c’est une piasse.”
Le discours de l’homme d’affaires n’est pas neutre, mais il n’est pas que politique, encore moins radicalement néolibéral. Jean-Claude Sensemat se pose en produit de la méritocratie : “Je dois mes succès à moi même, à une époque, à un environnement qui s’est ensuite retourné contre moi, et les institutions de la France ne m’ont pas assisté.” Selon lui, c’est la mentalité française qui place aujourd’hui le pays en situation d’échec. “C’est le problème de notre devise Liberté, Égalité, Fraternité. Le peuple confond l’égalité avec quelque chose d’égal : il a une belle voiture, je dois en avoir une. C’est cet égalitarisme qui trompe le peuple. Pour avoir accès à quelque chose, il faut se l’octroyer en travaillant”, avance-t-il.
 
Jean-Claude Sensemat ne s’en cache pas, il a de l’argent. Le raffinement de son lancement sous les verrières du Holiday Inn de la rue Sherbrooke en atteste. Il se défend néanmoins de faire partie de cette catégorie de patrons montrés du doigt comme des exilés fiscaux : “J’ai des affaires en France, je paie en France tout comme je paie des impôts ici”. Aujourd’hui, l’entrepreneur ne voit pas sa vie ailleurs qu’à Montréal.
“Je veux rester ici, je ne fais pas partie de ces Français qui viennent un temps et repartent. Quand j’ai fermé la porte de mon appartement à Toulouse, c’était pour partir définitivement”, précise-t-il. Aux côtés de son épouse Martine, il continue à développer la société de gestion d’actifs et de conseil, créée dès son arrivée au Canada en 2007.
Il faut reconnaître à Jean-Claude Sensemat sa capacité incroyable à rebondir et à vivre avec son temps. Son American Dream, il a voulu le construire en France, et c’est finalement à l’heure où personne n’ose plus y croire qu’il le poursuit au Québec. À 62 ans, et loin du pessimisme actuel qui semble ronger les Français, il regarde encore et toujours devant lui avec la même ambition dévorante qu’à ses 20 ans. “On n’est pas obligé d’avoir de l’argent pour réussir, même aujourd’hui. Ce qu’il faut, ce sont des idées et des concours de circonstances, mais le plus important, c’est l’idée”, conclut-il.
 
BERTILE DE CONTENCIN 13 JUIN 2013 0

lundi 10 juin 2013

Recour en proximité de Juge, Expert et Justiciable

COMMUNIQUÉ :

Jean Claude SENSEMAT   scandaleusement dépouillé de la propriété de son Groupe d’outillage,  a demandé  une consultation à Maître Guy DEBUISSON afin d'envisager un recours judiciaire.

En effet, l'intéressé  qui était classé 150 Emme fortune professionnelle française, s'émeut des possibles conséquences judiciaires liées à la proximité d'un Juge et d'un Expert.

Lui-même entretenait des relations intimes avec un Magistrat qui occupait!! la double  présidence du TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE et du TRIBUNAL DE COMMERCE avant que celui-ci ne se comporte en "ennemi judiciaire" provoquant la déconfiture du Groupe.
La révision intellectuelle du dossier ayant postérieurement aux jugements laissé transparaître d'évidentes anomalies et turpitudes, Jean Claude SENSEMAT doit demander à Maître DEBUISSON du barreau de Toulouse d'engager une action en révision.
 
 
Paru dans La Lettre de L’Expansion :
 
JEAN-CLAUDE SENSEMAT, fondateur du groupe gersois d’outillage éponyme qui a fermé en 2000 et dont il estime avoir été dépouillé, va demander une consultation à Guy Dubuisson, avocat à Toulouse, en vue d’engager une action en révision. Il compte mettre en avant notamment la proximité d’un juge et d’un expert pendant la période de difficultés du groupe.
La Lettre de L’Expansion du Lundi 10 juin 2013  n° 2139

vendredi 7 juin 2013

SULITZER aime FRANCE QUAND TU TRAHIS


Paul-Loup SULITZER l'auteur de Money, Cash, Fortune qui a vendu 60 millions de livres à traves le monde.

Après avoir dévoré "FRANCE QUAND TU TRAHIS" le dernier ouvrage de Jean-Claude Sensemat publié aux www.EditionsDuroi.com
a déclaré à JOURS DE FRANCE:

 
"un livre que tout entrepreneur devrait lire pour ne rien laisser échapper du monde actuel et qui se lit comme un roman"
 
La version papier en Français ou Anglais est UNIQUEMENT vendue par le site internet: www.EditionsDuroi.com
La livraison est gratuite partout dans le monde. Bonne lecture !

mardi 28 mai 2013

Interview de Jean-Claude Sensemat pour Entreprendre de Mai 2013 No 270


 
Jean-Claude Sensemat est un personnage atypique.
Son histoire particulière, jonchée de hauts et de bas, de tragédies et de succès, a fait de lui un acteur extraordinaire de sa propre vie.
Parti de rien, il démarre dans les affaires avant sa majorité.
Dès 1975, il passe de la Chine de Mao à l’Europe de l’Est, encore communiste et fait fortune dans le commerce international.
Rattrapé par son succès jugé insolent, il est mis à mal par un entourage malveillant et perd une partie de son patrimoine.
En 2002, il est nommé Consul de la République d’Albanie pour le sud de la France.
En 2006, il décide de s’installer au Canada avec sa famille.
Il y développe ses affaires tout en retrouvant l’Asie de ses débuts où il vit une partie de son temps.
Il a édité son cinquième livre aux Éditions Duroi au Québec - www.EditionsDuroi.com
 
Comment vous situez-vous aujourd’hui ? Patron ou Auteur ?
Après avoir été un entrepreneur, leader dans l’import export d’outillage et repreneur de plusieurs marques dont les montres Lip en 1990, j’ai toujours eu une passion pour l’écriture.
J’ai été propriétaire et Directeur de publication de plusieurs journaux dont La Gascogne, Le Capitole et ai écrit pour la presse nationale.
Mon expérience d’une vie mouvementée me pousse à écrire des ouvrages économiques du vécu.
J’ai donc créé les Éditions Duroi au Québec où je vis, je suis donc désormais Auteur, Éditeur, Distributeur.
 
Pourquoi " France, quand tu trahis ?"
Il s’agit-là d’un témoignage utile pour mes compatriotes. Mon devoir de citoyen est de les alerter sur les dysfonctionnements qu’il peut y avoir dans une République comme la nôtre.
Ce livre rythmé est jonché de faits précis, il est l’exemple même de ce qui ne devrait jamais arriver.
Il illustre le traitement personnel et dépourvu d’humanité que j’ai subi en France.
 
En voulez-vous à la France ?
J’ai été mal traité par un entourage malveillant.
Ma famille et moi nous sommes même sentis en insécurité dans notre propre pays et avons vu notre avenir bloqué.
Je suis Français et fier de l’être. Je suis né en France et imprégné de cette belle culture.
Si j’ai eu la capacité d’une telle ascension c’est que mon caractère est tel que, même dans l’adversité, je puise la force pour me redéployer.
 
Votre histoire paraît tellement invraisemblable qu’on a du mal à y croire ?
Oui, j’ai vécu un Outreau économique. C’est pour cela que j’ai écrit « France, quand tu trahis » avec les détails précis qui illustrent des faits réels car cela peut arriver à d’autres.
Il faut témoigner pour faire barrages aux dérives et manquements des institutions de la France.
 
N’avez-vous pas eu le grand tord de dénoncer certaines pratiques politiques en tant que chef d’entreprises ?
Autodidacte et avec 30 ans de succès ininterrompu cela n’appelait pas à la modestie.
Je suis conscient que j’ai généré des antipathies dues à une attitude trop flamboyante.
Néanmoins j’ai été le premier employeur de mon département natal et les politiques ont toujours pensé que je convoitais leurs postes.
J’ai eu le tord, comme beaucoup de commerçants, de ne pas avoir voulu prendre une position tranchée en politique.
J’étais considéré comme un électron libre.
Aujourd’hui, je suis convaincu qu’il faut toujours choisir son camp.
 
Qu’est-ce qu’il faut changer dans notre pays ?
Il faut remettre au centre de la société française les valeurs morales comme l’honnêteté, la loyauté et le travail. Il faut célébrer les talents et endiguer ce mal qui fait beaucoup de ravage en France : la Jalousie qui est due à une idéologie trop égalitariste.

Est-ce qu’on peut encore réussir en France ?
Bien sûr, à condition d’être socialiste, de monter une association ou une SCOP subventionnée par l’état.
Ou encore d’avoir un métier dans lequel on peut faire du black. Autre possibilité, comme je l'ai vécu à mon détriment, s’emparer de la clientèle de son employeur et monter sa propre entreprise avec le fruit du larcin. Autre cas de figure, être acheteur dans une grande compagnie et se faire verser des commissions par les fournisseurs de son employeur.
Bien entendu, je ne préconise aucune de ces solutions, le travail et la voie de l’honnêteté étant de loin les plus fiables et les plus gratifiantes pour la conscience et l’équilibre.

En voulez-vous aux banques ?
Le monde bancaire a un comportement particulier en France. Il considère, trop souvent, le patron comme l’ouvrier de sa finance. J’ai reçu de ceux-ci une « fatwa»  pour ne pas avoir donné de cautions sur mes biens personnels et cela en toute impunité de ces pratiques : « Mr Sensemat n’aura plus de crédit en France s’il ne remet pas au pot » ce sont ces mots qui ont été glissés à l’oreille de mon directeur financier.
Bien sûr je n’ai rien pu bâtir depuis en France.
Je n’ai jamais eu d’interdiction, pourtant, de façon informelle la communauté bancaire m’a censuré. Cela aussi m’a forcément poussé l’exil.

Croyez-vous à l’indépendance de la justice ?
Elle est nécessaire mais pour y parvenir il faut revoir la responsabilité des juges.
Personne ne peut croire que tous les juges sont des saints qui peuvent dispenser la justice en toute neutralité.
Chaque membre devrait être irréprochable et pour cela répondre à une enquête personnelle et financière régulière pour contrôler l’enrichissement personnel direct ou indirect, comme cela se pratiquera de plus en plus pour les hommes publics.
Ils devront passer des examens médicaux attestant de leur équilibre personnel et psychologique car les cas qu’ils ont à juger sont souvent lourds.
Enfin, ils devront être bien mieux rémunérés pour être à la hauteur de la charge qu’on leur demande.

Peut-on réussir sans avoir des appuis ?
Parti de rien, vivre une ascension seul vers la réussite comme je l’ai vécu n’est plus possible depuis l’avènement de la mondialisation des échanges.
Je pense que l’on ne peut rien seul dans un monde en mutation rapide en conséquence il faut choisir son camp ses alliés et faire partie le plus possible de clubs et d’associations.

Pensez-vous avoir fait le bon choix d’être allé vivre au Canada ?
J’ai été bien accueilli au Canada et au Québec.
Montréal est une ville jeune et dynamique. J’ai appris rapidement ce qu’était la mentalité américaine.
Mon fils y a terminé ses études universitaires, et s’y est trouvé une situation.
Il y a rencontré son épouse et notre famille est en train de s’agrandir au Québec.

Comment avez-vous réagi aux exils de Depardieu, Johnny, Arnault etc…?
La France d’aujourd’hui ne permet plus aux talents de s’exprimer. Tout est fait pour niveler par le bas. Les mesures économiques prises par ce gouvernement vont à l’encontre de l’entreprise et donnent de très mauvais signaux aux entrepreneurs.

Êtes-vous un exilé fiscal ?
Non. Je paie toujours des impôts en France et encore l’ISF et je paie aussi mes impôts au Canada pour tous les gains réalisés dans ce pays.
J’ai été poussé à l’exil car victime de déloyautés et d’une série de manquements des institutions de mon Pays.
Tout cela nous a écœurés et lassés.
Ma famille et moi nous sommes même sentis menacés dans notre propre pays.
Nous avons préféré partir.

Qui vous a trahi ? Qui vous a fait perdre une partie de vos affaires ?
J’ai été trahi après trente ans de succès économique absolu par une partie de mon entourage, professionnel et amical.
Jaloux, parfois incompétents, ces gens n’ont eu de cesse de créer le doute.
J’ai du dénoncer les agissements d’un entourage malveillant auprès de la Police Judiciaire de Toulouse et d’un auxiliaire de justice qui a depuis été jugé et emprisonné.
Près d’une dizaine de mises en examen ont été prononcées dans cette affaire.

Bernard Tapie a gagné des procédures, ne pensez-vous pas en faire de même ?
Bernard Tapie a été abusé par certaines banques, il a gagné, il a été soutenu par ses amis et je m’en réjouis pour lui.
Pour ma part, tous mes amis se sont évaporés à ce moment-là. Je n’ai même pas trouvé d’humanité dans le Gers, mon département natal car j’ai eu le tord de ne jamais m’en extirper.
Il n’en reste pas moins que les quarante cinq millions d’Euros pour préjudice moral octroyés à Bernard Tapie apparaissent disproportionné.
Mon histoire m’a mis dans un inconfort moral et physique dommageables et, pour ma part, non dédommagés.

Votre carrière a-t-elle été ruinée ?
J’ai une vie et une carrière formidable et très mouvementées.
Dans les années 90, j’étais classé par les magazines dans les grandes fortunes professionnelles, je ne le suis plus et suis donc passé de très riche à riche.
Après tous ces évènements, j’ai été fait Consul Honoraire de la République d’Albanie jusqu’à mon départ de France.
Cela a été un bon signal pour mon honorabilité.
J’ai réussi mon immigration familiale au Canada où ma famille a trouvé bonheur et équilibre.
Cela m’a permis de gérer mes affaires depuis Montréal tant pour les activités mobilières qu’immobilières.
Un bon pied de nez à ceux qui voulaient me détruire.


France, quand tu trahis par Jean-Claude Sensemat
est édité aux www.ÉditionsDuroi.com

mardi 21 mai 2013

Rencontre avec Nicolas Sarkozy

Montréal : le Jeudi 15 Avril 2013, Jean-Claude SENSEMAT a rencontré Nicolas Sarkozy lors de sa conférence donnée à la Chambre de Commerce de Montréal Métropolitan (CCMM) - www.Sensemat.com 

dimanche 12 mai 2013

Interview pour ENTREPRENDRE

A lire dans le magazine ENTREPRENDRE de Mai 2013.
France, quand tu trahis - www.EditionsDuroi.com

dimanche 5 mai 2013

Des extraits de "FRANCE, QUAND TU TRAHIS" aux Editions Duroi

Voici des extraits de "FRANCE, QUAND TU TRAHIS"

"Son visage horrifié restera la dernière image vivante de ce personnage. Le choc fut sourd et le corps avalé par le châssis de la Mercedes-Benz."

"« Et alors, je dirais que je me suis trompé, tout le monde peut se tromper…Je suis le Juge. »"
« Ça y est, on a cassé la machine à milliards » et plus tard quand on demanda à ce syndicaliste qui se retrouvait au chômage vous avez cassé la machine, mais vous vous retrouvez sans emploi « Oui, mais au moins j’ai fait casser la gueule à Sensemat »

"Je ne sais s’il était déjà mort, mais j’ai ressenti ses derniers soubresauts, et je criais : « Papa ! Papa ! Je t’aime ! Ne meurs pas, non ce n’est pas possible ne me laisse pas seul ! » "

"Mais où aller ? L’Andorre, la Suisse, la Belgique, l’Espagne ? Notre fils, Laurent, avait fait un stage avec son école à Longueuil - au Québec "

"« J’espère que tu n’es pas Franc-maçon, ils sont contre Dieu, ils piétinent les hosties !"

"ils auraient dû vous inviter à venir chez nous et vous pousser, au lieu de vous détruire."

"je me retrouvais sur les bancs de la correctionnelle pour avoir commis le délit de dénoncer des voleurs."

", je demandais à mon avocat de spécifier à la Cour que « les faits étaient réels, mais prescrits » et en conséquence, de demander l’indulgence du Tribunal.

Malgré mes demandes réitérées, jamais je ne pus obtenir que cela soit mentionné dans les conclusions, ni plaidé par cet avocat spécialiste."

"curatrice et dit à mon ancienne épouse : « Alors Sompong, maintenant fini de faire la grande Dame ! » "

"Stupéfaction, cette curatrice-là, sous le couvert de la Justice Française, avait déshérité notre fils unique Laurent alors que sa maman l’aimait d’un amour maternel sans bornes."

"mon ex-femme, était restée l’otage, malgré elle, de jaloux locaux qui n’ont cessé de profiter d’elle en s’apitoyant sur son sort."

"Sompong est décédée subitement foudroyée par une crise cardiaque sûrement par absence de traitement adapté."

"elle allait chez le médecin pour un rien, d’un généraliste à l’autre, puis d’un spécialiste à l’autre ; elle a fait le chiffre d’affaires du Corps médical du département sans contrôle aux frais de la sécurité sociale du Gers."

"Pleutre, dans son petit costume gris, ce banquier s’avança vers mon collaborateur préposé à la finance et lui dit : « Puisque Monsieur Sensemat n’a pas voulu remette son argent personnel dans l’affaire, il n’aura plus de crédit en France ».
J’étais donc victime d’une Fatwa,"
"un de mes avocats me suggéra de demander officiellement la repentance de la France."

Pour vous procurer le livre: www.EditionsDuroi.com

lundi 29 avril 2013

FRANCE, QUAND TU TRAHIS

NOUVEAU et FORMIDABLE
France, quand tu trahis. Poussé à l’exil, l’auteur dénonce les manquements de son pays qu’il aime tant.
France, quand tu trahis par Jean-Claude Sensemat aux Éditions Duroi - www.EditionsDuroi.com

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La version numérique 5,14 € ttc chez amazon sur kindle

 

vendredi 26 avril 2013

Ma rencontre avec Nicolas Sarkozy à Montréal


 

 J’ai participé ce Jeudi 25 Avril 2013 à la conférence de Nicolas Sarkozy avec mon épouse.
Dès 11h30 200 personnes se pressaient dans le salon VIP quand Nicolas Sarkozy est arrivé.
Je fus le premier, d’une longue liste, à faire une photo avec lui.
J’ai pu à ce moment là rencontrer le Consul Général de France à Montréal, Monsieur Bruno Clerc, saluer Jean Charest, l’ancien premier ministre du Québec. Il me dit : "Ce n’et pas la politique qui me manque mais les gens."
Puis un peu plus loin, Frédéric Lefebvre, candidat au prochaines législatives invalidées d’Amérique du Nord.
Après l’avoir salué, je lui ai demandé, dans le cadre de cette élection de bien vouloir faire réintégrer les membres suspendus de l’UMP Montréal. Il m’a dit : votez d’abord pour moi après on verra.
Je lui ai préciser qu’il valait mieux le faire avant l’élection tout en lui parlant de panache en référence à mes origines gasconnes.
Nous sommes ensuite allés à la salle de réception où 800 personnes se pressaient aux tables pour ce déjeuner conférence.
Quand la table d’honneur pris place, nous avons aperçu les membres de la famille Desmarais, André et Hélène.
Raymond Chrétien, ancien Ambassadeur du Canada en France ainsi que Jean Charest et d’anciens ministres de son gouvernement, Michael Appelbaum ,maire par intérim de Montréal et Michel Leblanc, président de la Chambre de Commerce Montréal Métropolitain.
Après que Nicolas Sarkozy ait été présenté à la tribune, on peut retenir : " J’ai beaucoup de plaisir d’être à Montréal, et au Québec parce qu’on y ressent une volonté d’aimer et d’être aimé.
Le terme identité n’est pas un gros mot ici mais que cela signifie que l’on a quelque chose à partager.
Je ne parlerai pas de la politique de mon pays non pas que je n’en ai pas envie mais parce que j’aime trop mon pays pour en dire du mal ou pour me réjouir des difficultés qu’il rencontre…"
Ensuite il s’est assis avec l'ex-ministre fédéral conservateur Michael Fortier, qui est maintenant vice-président du conseil de RBC Marchés des Capitaux et diverses questions ont été posées comme l’Europe et l’Euro.
"Je tiens à dire ici à Montréal, l’Europe et l’Euro survivront ! L’euro est le cœur de l’Europe car le maintien de l’Euro est une question de paix. S’il y a eu 6 millions de juifs qui ont été exterminés en Europe ce ne sont pas des arabes mais se sont bien des Européens qui l’ont fait. La cohésion est une nécessité".
La question de la sortie d’un pays de l’Euro qui irait mal a été posée. "La sortie d’un pays de l’Europe ne réglerait aucun de ses problèmes car le pays en question aurait toujours une dette souscrite en Euros alors que sa nouvelle monnaie aura été dévaluée de 30 à 50 % ce qui augmenterait sa dette en euros d’autant. L’Europe est un tout, l’Euro est un tout. Alors comment régler la dette ? " Je suis opposé à l’inflation et sans croissance il n’y a pas de solution d’où la nécessité d’un débat sur une politique monétaire. Sinon, comment faire pour rembourser la dette s’il n’y a pas de croissance ?
Puis concernant l’organisation de l’Europe, il a rappelé les difficultés du à la nécessité d’une consensus à 27 pays.
Il a dit : Le consensus interdit de prendre la bonne décision car une fois le consensus installé le bon moment pour la prise de décision est déjà passé. Faire croire à 27 pays qu’ils ont les mêmes droits et les mêmes devoirs est une illusion.
Il faut réduire les charges publiques. On ne peut pas laisser partir nos usines, il faut garder nos savoir faire. Comment garder de la production si nous n’avons plus de consommation ?
Mais garder l’appareil de production implique de modifier l’assiette fiscale.
Il n’y a pas de libertés sans règles sinon c’est la jungle.
Je n’ai jamais été socialiste (rires dans la salle) même quand j’étais jeune ! J’ai compris que je ne pouvais pas dépenser l’argent que je n’avais pas.
La question du mariage gay lui a été posée. Il a répondu, cela est surement du aux racines chrétiennes car quand on survole la France on peut voir un long chapelet d’églises et de cathédrales dans ce pays.
Lorsqu’un pays vit une telle crise, avec chômage, exclusion, on ne choisit pas un sujet comme le mariage gay pour diviser ce pays.
Beaucoup d’autres sujets ont bien sûr été abordés.
A la sortie de ce meeting il y avait des journalistes de la presse française écrite et télévisée.
Ils essayaient de pousser les commentaire sur le montant de la prestation payée par les 800 participants qui venaient d’assister à la conférence de Nicolas Sarkozy tout comme l’on fait avant lui Tony Blair, Bill Clinton, George W, Bush, ou Gorbatchev sans qu’on leur demande le tarif !
Nous avons trouvé un Nicolas Sarkozy un peu fatigué mais posé, réfléchi, avec du recul et de l’humour et surtout avec une analyse pointue sur l’état du monde.