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Chacun cherche une sortie de crise. Les bonnes nouvelles ne sont pas légion. Alors, en bourse, on parie sur des valeurs pourtant sinistrées comme l’automobile, le secteur bancaire ou celui de la construction. En effet, quand le fond aura été touché, il faudra se restructurer et les bonnes affaires reviendront.
Le monde est à l’affût de bonnes nouvelles. En ces temps de crise économique et financière les oracles sont rares :
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" Nous sommes dans une situation où nous assistons à un ralentissement progressif de la chute du PIB dans le monde industrialisé. Nous verrons probablement que la chute est de plus en plus faible, mais les chiffres resteront négatifs et cela pourrait durer toute l'année en cours. Les chiffres positifs vont apparaître dans le courant de l'année prochaine ",
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déclare Jean-Claude Trichet, Président de la Banque Centrale Européenne (BCE), qui se bat pour maintenir la stabilité des prix et œuvre pour que l’inflation ne pénalise l’économie mondiale.
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Christine Lagarde, avait prévenu que les chiffres seraient "mauvais". L'Insee l’a confirmé, les perspectives pour 2009 sont sombres au vu de l’évolution de la croissance du PIB qui devrait s'établir autour de moins 3,0% pour l'année 2009, explique la Ministre de l'économie Française qui table tout de même sur "une reprise graduelle" d'ici à la fin de l'année car la consommation a progressé de 0,2% entre janvier et mars 2009.
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La reprise va rembourser, petit à petit, la dette car ces gouvernements qui ont fait des prêts aux banques se verront remboursés avec intérêt, mais d’autres solutions devront être trouvées.
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L’idée d’une inflation pour rembourser la dette est illusoire et dangereuse,
« L'inflation se traduit par une baisse des revenus réels des ménages et par une inquiétude croissante qui, en fin de compte, pèse sur la consommation des ménages » expliquent divers économistes.
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De plus, l'inflation serait, mécaniquement contenue, par l’explosion de la natalité mondiale, car l’arrivée de ces nouveaux consommateurs est un garde-fou contre l’emballement de la machine inflationniste.
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Michel Sapin, ancien Ministre socialiste Français a déclaré que :
« Le gouvernement est condamné à augmenter les impôts ou les cotisations.» Si, comme tout le monde peut le comprendre, aucun pays ne peut échapper à quelques hausses d’impôts, ceux-ci devront être remaniés et les économies sont encore possibles comme dans la manière de les collecter. Par exemple, dans la fonction publique Française, la retenue des impôts à la source généralisée serait vectrice d’économie en nombre de fonctionnaires.
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Mais une voie des plus importantes a été tracée par le Président de la République Française, Nicolas Sarkozy, dans son discours de Nîmes le 5 mai 2009 :
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« La France se battra aux côtés de ses 26 partenaires européens pour obtenir un accord mondial ambitieux, pour lutter contre le changement climatique. Mais je le dis solennellement, il n’est pas question d’imposer à nos entreprises des règles très contraignantes en matière d’environnement et d’importer en Europe des produits de pays qui ne respectent pas ces règles. Face aux pays qui refuseraient de jouer le jeu, la France se battra pour l’instauration d’une taxe carbone qui permettra à l’Europe de faire face au dumping écologique. »
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Le protectionnisme par pays est à bannir mais il faut des règles et des lois. A l’heure où les dirigeants du monde s’entendent comme on l’a vu lors des derniers sommets, l’instauration de quelques taxes salvatrices comme « la taxe carbone » et d’autres sont à mettre en place au niveau des continents sans que cela soit pénalisant pour les peuples.
Chacun cherche une sortie de crise. Les bonnes nouvelles ne sont pas légion. Alors, en bourse, on parie sur des valeurs pourtant sinistrées comme l’automobile, le secteur bancaire ou celui de la construction. En effet, quand le fond aura été touché, il faudra se restructurer et les bonnes affaires reviendront.
Le monde est à l’affût de bonnes nouvelles. En ces temps de crise économique et financière les oracles sont rares :
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" Nous sommes dans une situation où nous assistons à un ralentissement progressif de la chute du PIB dans le monde industrialisé. Nous verrons probablement que la chute est de plus en plus faible, mais les chiffres resteront négatifs et cela pourrait durer toute l'année en cours. Les chiffres positifs vont apparaître dans le courant de l'année prochaine ",
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déclare Jean-Claude Trichet, Président de la Banque Centrale Européenne (BCE), qui se bat pour maintenir la stabilité des prix et œuvre pour que l’inflation ne pénalise l’économie mondiale.
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Christine Lagarde, avait prévenu que les chiffres seraient "mauvais". L'Insee l’a confirmé, les perspectives pour 2009 sont sombres au vu de l’évolution de la croissance du PIB qui devrait s'établir autour de moins 3,0% pour l'année 2009, explique la Ministre de l'économie Française qui table tout de même sur "une reprise graduelle" d'ici à la fin de l'année car la consommation a progressé de 0,2% entre janvier et mars 2009.
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La reprise va rembourser, petit à petit, la dette car ces gouvernements qui ont fait des prêts aux banques se verront remboursés avec intérêt, mais d’autres solutions devront être trouvées.
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L’idée d’une inflation pour rembourser la dette est illusoire et dangereuse,
« L'inflation se traduit par une baisse des revenus réels des ménages et par une inquiétude croissante qui, en fin de compte, pèse sur la consommation des ménages » expliquent divers économistes.
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De plus, l'inflation serait, mécaniquement contenue, par l’explosion de la natalité mondiale, car l’arrivée de ces nouveaux consommateurs est un garde-fou contre l’emballement de la machine inflationniste.
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Michel Sapin, ancien Ministre socialiste Français a déclaré que :
« Le gouvernement est condamné à augmenter les impôts ou les cotisations.» Si, comme tout le monde peut le comprendre, aucun pays ne peut échapper à quelques hausses d’impôts, ceux-ci devront être remaniés et les économies sont encore possibles comme dans la manière de les collecter. Par exemple, dans la fonction publique Française, la retenue des impôts à la source généralisée serait vectrice d’économie en nombre de fonctionnaires.
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Mais une voie des plus importantes a été tracée par le Président de la République Française, Nicolas Sarkozy, dans son discours de Nîmes le 5 mai 2009 :
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« La France se battra aux côtés de ses 26 partenaires européens pour obtenir un accord mondial ambitieux, pour lutter contre le changement climatique. Mais je le dis solennellement, il n’est pas question d’imposer à nos entreprises des règles très contraignantes en matière d’environnement et d’importer en Europe des produits de pays qui ne respectent pas ces règles. Face aux pays qui refuseraient de jouer le jeu, la France se battra pour l’instauration d’une taxe carbone qui permettra à l’Europe de faire face au dumping écologique. »
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Le protectionnisme par pays est à bannir mais il faut des règles et des lois. A l’heure où les dirigeants du monde s’entendent comme on l’a vu lors des derniers sommets, l’instauration de quelques taxes salvatrices comme « la taxe carbone » et d’autres sont à mettre en place au niveau des continents sans que cela soit pénalisant pour les peuples.
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